mercredi 28 octobre 2015

Adolphe Monod et Louis Vallette


Louis Vallette (1800-1872)

Jean Louis André Vallette naît le 24 mai 1800 à Chêne-Bougeries, un village suisse à la frontière avec la Savoie. Ayant perdu son père très tôt, il est aidé dans ses études par la famille genevoise Boissier-Butini au sein de laquelle il travaille comme précepteur. Alors qu’il étudie la théologie à Genève, il se lie d’amitié avec Antoine Vermeil (1799-1864), le fondateur de l’œuvre des diaconesses, ainsi que Frédéric, Billy et Adolphe Monod (1).

Adolphe Monod and Louis Vallette


Louis Vallette (1800-1872)

Jean Louis André Vallette was born on May 24, 1800, in Chêne-Bougeries, a Swiss village on the border to Savoy (France). Having lost his father when he was young, he worked for some time as a tutor for the Boissier-Butini family in Geneva, which supported him in his studies. When studying theology in Geneva, he made friends with Antoine Vermeil (1799-1864), who later founded the community of the deaconesses of Reuilly, and with Frédéric, Billy and Adolphe Monod. (1)

Adolphe Monod und Louis Vallette



Louis Vallette (1800-1872)

Jean Louis André Vallette wurde am 24. Mai 1800 in Chêne-Bougeries, einem Schweizer Dorf an der Grenze zu Savoyen, geboren. Er verlor verlor seinen Vater sehr früh. Die Genfer Familie Boissier-Butini, in der er als Privatlehrer unterkam, unterstützte ihn in seinen Studien. Während seines Theologiestudiums in Genf befreundete er sich mit Antoine Vermeil (1799-1864), dem Gründer des Diakonissenwerks, aber auch mit Frédéric, Billy und Adolphe Monod. (1)

lundi 26 octobre 2015

Eugène Bersier - ses sermons




Désormais les 79 sermons de Bersier qu’il a publiés en sept tomes sont disponibles sur mon site consacré à la grande prédication française (ici).

lundi 12 octobre 2015

Jacques Saurin - La préface de son grand catéchisme




Le grand catéchisme de Saurin (qui doit être distingué de sa version abrégée pour la jeunesse de 1725) doit sa naissance à une société de charité agissant en faveur de la diaconie. Saurin mentionne les difficultés posées par les soins pour les pauvres et la relative faiblesse des moyens à la disposition de ce ministère, deux raisons qui ont rendu nécessaire l’établissement de cette société. Celle-ci se propose aussi d’améliorer l’enseignement de la religion, notamment pour les enfants, afin d’agir de manière favorable sur leur vie.